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Aide Injustice

26 septembre 2013

Et la famille dans tout ça, les amis, les soutiens de base ?

 

Donc quand vous saurez tous les détails de l’affaire précédente, je pourrai même vous raconter les ravages que peut provoquer un mari devenu au fil des années manipulateur, pervers narcissique, un brin paranoïaque (mais je ne suis pas spécialiste du cerveau, enfin il était sûr que je voulais l’empoisonner (Je ne suis pas très bonne cuisinière, mais quand même !).

 

Les familles : de son côté, du mien, les amis de trente ans, les siens, les miennes, et même notre fils unique. Tous m’ont tourné le dos petit à petit, sansmême que je réalise durant les premières années. Ils ont disparu, ne m’ont plus répondu, plus appelée. Je n’ai jamais eu un mot d’explication de qui que ce soit. Pas une engueulade, pas un accrochage, tous ces gens que j’aimais, que je recevais, volatilisés, pourquoi ?

Perdre ainsi mon fils unique, sans un mot. Sans réponse. C’est terriblement douloureux, inhumain.

Elle n’est pas belle ma vie ?!? Je la quitterai sans regret c’est certain…

En attendant, la justice me guette et veut me mettre sur la paille :

A vot’bon cœur m’sieurs, dames…

Gare au gorille !

 

Marie Claude

 

Ci-après voici quelques pages extraites du jugement, annexes officielles, preuve de ma bonne foi.

 

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26 septembre 2013

Je suis maudite, j’ai la poisse, rien que des tuiles

 

Si quelqu’un s’intéresse à moi via ce blog, me répond, je pourrai ensuite vous raconter comment, en janvier2009, un huissier est venu m’annoncer le blocage de mes compte bancaires, sans aucun courrier préalable !!! Rien, je le jure.  Dans un autre dossier immobilier (la maison du couple DECOSTER vendue en 2006 en raison du divorce), jugement (pour une histoire de fosse septique non conforme qui existait déjà en l’état quand nous avons acheté), où là non plus je n’étais responsable de rien mais, j’étais juste celle qui avait quelques économies, en bout de liste, celle qui ne se doutait de rien mais n’était pas morte (mon mari oui) et ne se cachait pas (la vendeuse de la maison oui)… celle qui n’avait reçu aucun avis, aucune copie du jugement même !

Ultra violence de la « justice »

Par surprise j’ai été saisie de plus de 7.000e, (énorme somme pour moi), par jugement du tgi d’Aix en Provence la vendeuse de ma maison précédente à Trets (Aix) me doit en outre, depuis 2007, plus de 14.000 euros, elle a finalement déposé en 2013 un dossier de surendettement à la Banque de France et il est sûr que là non plus je ne verrai jamais la justice passer par moi… jamais je ne percevrai un euro en retour sur cette somme.

26 septembre 2013

Au secours, j'ai besoin de votre aide.

J’ai besoin de votre aide !

Si vous voulez bien diffuser plus largement ce SOS, je ne sais pas comment m’y prendre,

Si vous connaissez des personnes susceptibles de me secourir,                                                                       

Si des avocats ou des juges peuvent racheter par un don la mauvaise décision de leur collègue,            

Si un journaliste chroniqueur judiciaire peut me donner un coup de main,                                                   

Si vous êtes un émir, un footballeur, un Depardieu, un pdg du CAC 40, Madame LOREAL, un riche en général, un veinard du compte en banque quoi,  si quelqu’un a pitié de la petite mémé solitaire d’Ardèche sous ses plaques amiantées, au bout du rouleau,  massacrée financièrement par un juge injuste, je vous indique mon adresse,  tout en n’osant même pas espérer le début du moindre miracle de chèque :

Marie Claude DECOSTER VERLYNDE                                                                                                                     

rue du Mas de Laffont 07260 RIBES 

aideinjustice@orange.fr   

26 septembre 2013

Anéantie !

Inutile de vous dire dans quel état d’anéantissement je suis face à ce jugement révoltant par son injustice. Quel impact sur la santé et le psychisme ?! Sans parler de tout ce que j’ai déjà déboursé en honoraires.

 J’avais un mois pour décider de faire appel, à partir du 8 août ! Encore des frais d’avocat, encore des mois voire des années de bataille, d’attente, de torture pour les nerfs, d’angoisse, de nuits d’insomnie, pour aboutir à … ???  Probablement la confirmation de décision du 1er juge ? Probablement l’alourdis-sement de ma peine, sanction supplémentaire pour avoir osé insister, et me faire écrabouiller financièrement  plus lourdement encore ? 

La justice n’est pas faite pour les pauvres, a fortiori ceux, les plus nombreux, qui sont juste au-dessus du droit à l’aide juridictionnelle. Les politiques et les riches sortent blanchis avec non-lieu, mais nous…

Alors comment faire face à cette catastrophe financière ? Sans compter les milliers d’euros d’hono-raires déjà perdus jusque là.  Je vis d’une pension mensuelle de veuve de 1.600e (mon ex-mari est décédé en 2008).

Où vais-je trouver ces milliers d’euros ?  Braquer une banque ? Menacer un bijoutier ? Me lancer dans la prostitution aux abords des maisons de retraite ? Je vais quand même avoir 64 printemps ! Ou bien, l’Ardèche étant depuis l’époque des hippies, une des régions privilégiées pour la culture et l’usage du c……s, puis-je seulement penser, comme « Paulette », à la confection et la commercialisation très rémunératrice de spacecakes ? Non, rien de malhonnête ou d’illicite, évidemment pour m’en sortir !

Jugement rendu 

Quant à l’amiante, elle est toujours là, dans les plaques supportant les tuiles et visibles, pour un œil exercé (des professionnels de l’immobilier et du bâtiment) de l’extérieur de la maison.

Le juge a décidé que l’expertise ne concernait que la maison et que les combles, le dessous de la toiture n’en fait pas partie. Invraisemblable. En annexe extrait du jugement consternant. Les 6 X 500 litres de mes récupérateurs d’eau collectent directement les eaux pluviales amiantées.

J’ai caché les noms car les faire apparaître me mettrait encore davantage dans une position d’accusée et je pourrais être poursuivie à nouveau par la « justice » j’imagine pour dénonciation calomnieuse. Je tiens tous les éléments à disposition si quelqu’un s’intéresse à mon cas.

 

26 septembre 2013

Mon Parcours

J’ai eu 63 ans fin mai. Jusqu’à ce jour ni sur facebook ni sur twitter, mais j’espère bien qu’on m’aidera à mettre en place et diffuser mon S.O.S.

Je vis seule dans un petit village du sud Ardèche (je viens de Lille) et je lance cette bouteille à la mer, désespérée, après un jugement HONTEUX du tribunal de grande instance de Privas.

Existe-il un fonds de soutien ou secours aux victimes des injustices de la « justice », aux décisions aberrantes des juges ? N’appartenant à  aucune loge, ne faisant partie d’aucun club, je ne bénéficie d’aucun appui.

L’origine du problème

Suite à un divorce pénible, après plus de 30 ans de mariage, j’ai acheté en février 2007 la maison dans laquelle je vis actuellement. Elle date des années 80 et m’a été vendue avec certificat d’expertise de non présence d’amiante (inclus à l’acte de vente).

La découverte

Fin 2007, une entreprise faisant des travaux d’isolation thermique sous le toit m’a signalé que les plaques ondulées supportant les tuiles contenaient certainement de l’amiante ! Stupeur !  J’ai fait réaliser une analyse, sous contrôle d’huissier, puis dépôt de plainte après résultats positifs (par prélèvement avec une petite pince d’un ou deux cm2 de fibrociment).

Les conclusions

Contre-expertise tout aussi positive du tribunal et au bout du compte, après des années de lutte et de tourments, des successions d’avocats, vient de tomber le jugement par le T.G.I. de Privas, le 27 06 2013 remis par huissier le 08 08 2013 :

 

de victime je me retrouve accusée et condamnée à indemniser les trois parties adverses  (le couple

de vendeurs, l’agence immobilière, l’expert technique amiante qui a délivré un certificat mensonger).

JE DOIS VERSER 1.000e à chacun d’eux et je suis aussi  condamnée à payer les dépens, soit les frais d’expertise et/ou de justice de ces trois parties (montant qui s’élève à ? et n’a pas encore été annoncé à ce jour).

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